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FAQ (à propos de moi)

Je suis né dans le sud du Brésil, pas à Rio ou São Paulo mais à Rio Grande do Sul (qui peut se traduire par LA Grande Rivière du Sud), à quelques centaines de kilomètres à l’est de l’Argentine. Dans « mon Brésil » les températures peuvent descendre en dessous de zéro en hiver (pendant quelques jours seulement). Je suis né dans une ville qui s’appelle Bento Gonçalves, mais j’ai vécu pendant toute mon enfance à Farroupilha.

Tout a commencé au Brésil quand j’avais 7 ans avec des cours de piano classique. J’aimais beaucoup le défi intellectuel que représente la musique classique. C’était amusant de voir comment chaque main pouvait avoir son propre mouvement et comment les mélodies, harmonies et les rythmes pouvaient créer une musique belle et complexe à la fois. J’ai commencé le chant lorsque j’avais 10 ans, quand mes parents ont installé un karaoké à la maison. Dans ma famille, tout le monde chante et on a passé beaucoup d’instants mémorables ensemble en chantant et en s’amusant. Quelques années plus tard, quand j’étais adolescent, j’ai rejoint un conservatoire de musique professionnel à l’université (UFRGS) pour prendre des cours de piano (très intenses). Le niveau des professeurs et des étudiants était beaucoup plus élevé et j’ai appris beaucoup en peu de temps. Malheureusement, petit à petit, le manque de liberté artistique dans la musique classique m’a éloigné de ce style et j’ai quitté le conservatoire.

Une page s’est tournée et j’ai décidé d’apprendre la guitare et de perfectionner mon chant. C’était en quelque sorte une étape naturelle puisque j’avais quelques amis qui prenaient des cours de guitare et qui avaient besoin d’un chanteur.

J’ai commencé à jouer dans mon premier groupe à ce moment-là, il s’appelait « LPs » et on jouait principalement des classiques du répertoire rock (Pink Floyd, Led Zeppelin, Black Sabath, Dire Straits, The Doors,…). J’étais au piano et aux choeurs. C’est probablement à ce moment-là que j’ai commencé à m’intéresser à la technique vocale. J’ai pris quelques cours de chant mais, sincèrement, j’ai surtout appris grâce à mes tentatives et mes erreurs. J’adorais faire des expériences avec ma voix, en tester les limites et les capacités. Bref, revenons-en à mon groupe. Les autres membres étaient un peu plus âgés que moi et avaient plus d’expérience en groupe que moi. C’était aussi un challenge pour moi de jouer dans un style si différent du classique. J’ai beaucoup aimé l’expérience et durant les années qui ont suivi, j’ai rejoint un autre groupe appelé « Retrato Falado ». Cela m’a révélé le plaisir de préparer de véritables spectacles, avec un jeu de scène et de la musique pour faire chanter et danser le public.

En 2009, j’ai vécu pour la première fois à l’étranger. Même si mon arrivée en France n’était pas liée à la musique (je venais pour un double-diplôme d’ingénieur à l’Ecole Centrale Paris), ça a été la période où j’ai le plus pratiqué la musique jusqu’alors. Comment? Entre deux cours, je fuyais dans la salle de musique du campus pour jouer du piano et chanter. Le coeur de ma setlist solo a été consolidé à ce moment-là. Des chansons légendaires telles que Bohemian Rhapsody (Queen), Roxanne (The Police) et Logical Song (Supertramp) étaient déjà sur la liste. A cette époque, je n’avais pas beaucoup de temps pour faire des concerts donc ma carrière musicale n’a pas beaucoup évolué. En 2012, je suis rentré en Amérique du Sud pour finir mes études.

De retour au Brésil, je suis devenu ami avec un autre musicien/ingénieur (qui est aussi compositeur), Pablo Dias. J’ai rejoint son groupe (la « Goiabanda ») et on a participé à plusieurs « soirées à thème », bars et évènements. Les résultats de mes nombreuses répétitions en solo ont été mis à profit à ce moment-là. J’étais déjà un bien meilleur chanteur et musicien. Ca devenait du sérieux. Quelques années plus tard, je suis revenu en France où je suis toujours (en 2021). De nouveau, le motif de ma venue n’était pas d’ordre musical, je suis venu pour un doctorat à l’Ecole Centrale Paris (aujourd’hui CentraleSupélec). En parallèle de ma formation j’ai rejoins un groupe semi-pro, One Street, avec qui j’ai découvert la scène des bars et événements Parisiens. Ensuite j’ai rejoins un orchestre de variété spécialisée dans l’événementiel et j’ai pu découvrir un peu plus le côté professionnel du métier. La musique restait mon activité secondaire mais la double casquette était de plus en plus difficile à porter. 

En mai 2018 j’ai les scènes ouvertes (Open Mic pour les habitués). Ces soirées permettent à des chanteurs et musiciens, amateurs pour la plupart, de passer sur le devant de la scène pour chanter quelques chansons. On y écoute des compos ou reprises de toute époque, de tout style,  et on y fait des rencontres très intéressantes. Mes morceaux piano voix y ont connu un franc succès. Fin 2018, avec quelques amis rencontrés en open mic, on s’est inscrits à un concours de chant Rock, à la Guinness Tavern de Paris. C’était un concours amateur mais le premier prix était de taille: 4 cours de chant avec Armande Altaï (Star Academy). J’ai remporté le concours et commencé les cours avec cette merveilleuse prof de chant. Ça s’est très bien passé et une fois mon forfait de 4 cours épuisé, pour mon plus grand bonheur, Armande a décidé de me garder parmi ses élèves! Les cours continuent jusqu’à aujourd’hui. Le fait qu’une experte du métier considère que j’ai « une voix hors commun » a fait germer l’idée en moi, « et si c’était ça le chemin que je dois parcourir? ». Les concerts se multipliaient et j’ai monté un nouveau groupe, « Luciano & the Clouds ». Accompagné de 4 musiciens talentueux, j’ai pu me présenter dans des clubs reconnus de la nuit parisienne et beaucoup gagner en expérience de musique live et en capacité à « faire le show ». Voilà où j’en suis aujourd’hui. Malheureusement, à cause de la pandémie, tout tourne au ralenti depuis mars 2020. J’en profite pour peaufiner mon répertoire, pour pouvoir être à fond lors de la reprise!

Il y en a deux et je ne peux pas me décider sur l’une d’entre elles. La première est assez évidente étant donné mes inspirations de chanteur de rock et pianiste: Bohemian Rhapsody de Queen. La seconde est bien moins connue mais pour moi c’est une oeuvre maîtresse et quand j’étais adolescent je l’écoutais souvent les yeux fermés, allongé dans mon lit, pour m’évader: Fool’s Ouverture de Supertramp.

Non. OK, Luciano est mon vrai prénom mais Cadô est un nom de famille « de scène » composé de la première et de la dernière syllabe de mon vrai nom de famille.

Voici comment j’en suis arrivé à ce nom. J’ai toujours adoré le nom de scène de M. Gordon Matthew Thomas Sumner, STING, parce que je trouve que celui-ci s’allie parfaitement au caractère de sa voix. Quand je cherchais un nom de scène, j’ai demandé à ma famille et à mes amis à quoi ils pensaient lorsqu’ils m’entendaient chanter. Les réponses ont montré que mon chant était reçu comme (désolé pour le manque de modestie) un « cadeau ». Je voulais aussi que mon nom sonne bien en portugais (ma langue natale) donc c’est devenu « Cadô ».

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